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Les "claquages" de la cuisse

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Introduction

Lors d'une accélération ou d'un tir : "crac", vous ressentez une violente douleur dans la cuisse. Vous stoppez votre action, parfois même vous quittez le terrain en boitant. C'est probablement un "claquage" … ou une "élongation"… ou peut-être un arrachement osseux ! Le doc de France football vous explique votre blessure et son traitement !

Que s'est-il passé ?

Le tir illustre parfaitement les contraintes musculaires imposées à la cuisse lors de la pratique du football. En fin de geste, le genou s'étend puissamment et la hanche se plie. Lorsque la jambe monte vers le thorax, le mouvement de ces deux articulations s'associe pour tirer fortement sur le muscle situé à l'arrière de la cuisse. Simultanément, il doit se contracter car il est chargé de freiner le mouvement. Il protège le genou d'un excès d'extension et contrôle la qualité technique du geste : le tibia situé sous le genou étire ce muscle. Il tracte sur le sac fibreux qui l'entoure. Pour ajuster le tir, les fibres musculaires se contractent et tirent sur cette enveloppe en sens inverse ! Parfois, les points de jonction entre les fibres et la membrane musculaire peuvent céder : c'est la lésion musculaire

Un "claquage", c'est quoi ?

En fait, la blessure est plus ou moins grave selon l'ampleur des dégâts au sein du muscle. En cas de contracture on ne retrouve pas encore de lésion dans le tissu. A la suite d'un épuisement local , quelques fibres musculaires se bloquent, elles ne parviennent plus à se décontracter. Vous connaissez ce phénomène : dans votre polar préféré, c'est le corps entier du cadavre qui se rigidifie par manque d'énergie.

Lorsque quelques fibres musculaires sont déchirées au contact du sac fibreux, on parle d' "élongation". Parfois cette enveloppe musculaire, appelée "aponévrose", est distendue. Il s'agit alors d'un "claquage". Lorsque le traumatisme est plus violent, la membrane peut s'ouvrir, c'est la "déchirure". Enfin, la totalité du sac est déchiquetée, tout autour du muscle : vous êtes victime d'une "rupture".

Comment reconnaître une lésion grave ?

L'enveloppe contient tous les vaisseaux sanguins qui nourrissent le muscle. Lorsqu'elle est rompue, du sang se répand dans le muscle. Il sépare les fragments musculaires et ne favorise pas la réparation de la lésion.

Tous les signes évocateurs d'une déchirure de la membrane et d'un saignement sont des éléments de gravité.
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Un craquement ou une sensation de déchirure

Une impossibilité à poursuivre le sport …

Un gonflement de la cuisse
suivi éventuellement d'une traînée bleue sous la peau. Cette ecchymose caractérise l'écoulement du sang.

Que faire, en urgence, sur le terrain ?

Dans ces circonstances, sortez du terrain. Entourez la cuisse avec une bande. Partez au dessus du genou et remontez. Serrez un peu en bas puis de moins en moins. Le serrage diminue le saignement. La pression plus importante à la base de la cuisse favorise le retour du sang vers le cœur. Posez un sac de glace sur le bandage en regard de la zone douloureuse. Laissez-le en place au moins 20 minutes. Souvenez-vous : quand il fait chaud, votre visage est tout rouge. La chaleur ouvre les vaisseaux. A l'inverse, le froid provoque leur fermeture. La glace permet de réduire le saignement dans le muscle. Pour favoriser l'évacuation du sang vers la circulation générale, levez la jambe. Détendez votre muscle, allongez-vous et posez le pied en hauteur.

Pour soigner en urgence les lésions musculaires, mettez en place le GREC.

G = glace

R = repos … arrêt de l'activité et position réduisant les tensions musculaires

E = élévation

C = compression

Attention ce n'est pas toujours un "claquage" !

Le muscle s'accroche sur l'os. Parfois, lors de sa violente mise en tension, c'est le point d'insertion osseux qui s'arrache. Ce type de fracture survient plus souvent chez l'enfant ou chez l'adolescent. L'os en pleine croissance est encore fragile, il constitue un maillon moins résistant que le muscle.

Lors de la préparation du tir, le muscle situé à l'avant de la cuisse est puissamment étiré. Tendu au maximum, il se contracte pour relancer le mouvement et shooter. Alors, il arrive que la zone d'amarrage sur l'os du bassin se brise. Cette véritable fracture nécessite un traitement spécifique.

Faut-il toujours voir un médecin ?

S'il existe des signes de gravité, un avis médical s'impose pour préciser l'ampleur des lésions. Une échographie peut être envisagée. Il faut programmer rapidement un traitement adapté. Même en cas de lésion bénigne certains médicaments et surtout la kinésithérapie se révèlent très utiles.

Comment soigner votre "claquage" ?

Dans un premier temps, il est crucial de poursuivre la lutte contre le saignement. Très vite la rééducation est instaurée. La contraction douce du muscle débute dès qu'elle ne provoque plus de douleur. Même tout au début du traitement, le travail du muscle est indispensable à sa bonne cicatrisation. Ses mouvements provoquent des variations de pression qui chassent l'hématome. Les étirements favorisent la constitution d'une cicatrice plus souple et plus adaptée à sa fonction. Sans travail du muscle, l'hématome cicatrise comme une croûte fibreuse devenant le maillon raide et cassant au sein de la chaîne musculaire élastique Vous avez probablement déjà été victime de gerçure sur les lèvres. Une peau rigide et cornée répare la lésion. Un grand sourire et … "crac" … une nouvelle déchirure se constitue. Voilà ce que vous risquez à la reprise du foot si vous traitez vos lésions musculaires par le repos !. Le kinésithérapeute suit la cicatrisation pour augmenter progressivement les contraintes mécaniques. Avant de permettre le retour sur le terrain , il doit imposer au muscle les mêmes contraintes que celles subies lors de la pratique du foot !

Même en cas de rupture complète, une opération chirurgicale reste exceptionnelle. Le muscle déchiqueté est très difficile à suturer. Mieux vaut le laisser cicatriser en s'accrochant au muscle voisin.

Combien de temps serez vous indisponible ?

Une lésion musculaire sans lésion de la membrane cicatrise en 1 à 2 semaines. Lorsque l'enveloppe musculaire est abîmée votre absence peut durer 3 à 8 semaines. Mais, souvenez vous : l'activité musculaire bien dosée s'intègre au traitement. Rapidement, la natation, le vélo puis le jogging sont les bienvenus. Finalement, vous n'arrêtez pas le sport, vous gardez la forme pour retrouver au plus vite votre nom sur la feuille de match !

Le conseil: tout entraînement technique doit cesser lorsque la fatigue s'installe !

Vous souhaitez apprendre et assimiler un nouvel exercice. Si vous le répétez jusqu'à épuisement musculaire, le mouvement se déforme ! Très vite votre système nerveux s'entraîne à programmer l'action de muscles compensateurs. Votre cerveau finit par mémoriser un geste défectueux ! Dans le jargon des entraîneurs, vous "désapprenez".
Finalement le "bon sens" rejoint l'opinion des spécialistes du fonctionnement cérébral.

Cette affirmation est à moduler pour les pratiquants de très "haut niveau". Quand le geste est parfaitement assimilé depuis de nombreuses années, le niveau technique optimum est atteint, les schémas moteurs sont parfaitement inscrits dans le cerveau ! Il peut alors être utile de réaliser des exercices complexes au-delà de la fatigue. Dans ces conditions les bons muscles continuent à s'entraîner et progressent … pour tenir jusqu'à la fin du match !

La question : mon match est à 14 heures, que dois-je manger au déjeuner ?

Lorsque la compétition se déroule en début d'après-midi, il ne faut pas déjeuner. Préférez un "brunch" copieux entre 10 et 11 heures. Vous aurez fait le plein en énergie mais vous aurez libéré votre estomac de la digestion .

Si vous mangez trop près de l'effort, le tube digestif travaille pendant l'exercice. Il demande du sang ! Cette quantité ne sera pas disponible pour les muscles ! Votre performance physique se détériore ! Parallèlement, votre estomac et votre intestin fonctionnent dans de mauvaises conditions. Eux aussi manquent de sang à cause des besoins musculaires. De plus, Ils sont secoués quand vous courez ! Ils ne tardent pas à souffrir !

En pratique, dans votre "brunch", mettez des céréales, du fromage blanc à 0 ou 20 % de matières grasses et une compote ou un jus de fruit. Des tartines de pain complet, avec un peu de beurre et de la confiture, accompagnés d'un grand bol de lait sont adaptés si vous les tolérez bien. Vous pouvez ajouter une petite tranche de jambon dégraissé ou un morceau de poulet sans la peau. Evitez les œufs au plat et le bacon ,trop gras pour l'occasion.

Le docteur Stéphane vous donne aussi des infos sur : www.sportsante.info

. - 18 mai 2010.

Conflits d'intérêts : l'auteur ou les auteurs n'ont aucun conflits d'intérêts concernant les données diffusées dans cet article.

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L'iroman manque de fer, les autres sportifs aussi !

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Le fer est indispensable à votre santé et votre performance. Il constitue un élément central de l'hémoglobine. Cette dernière est contenue dans les globules rouges et lui donne sa couleur. C'est le fer qui capte l'oxygène lorsque le sang traverse les poumons. Il véhicule ce gaz précieux jusqu'aux muscles. Arrivé à destination, il largue sa cargaison qui permet alors la combustion des substances énergétiques et la contraction musculaire.

Quand vous courrez ou lorsque vous sautez, vos talons frappent le sol et le coussinet graisseux de votre plante du pied est écrasé. Il est traversé de nombreux vaisseaux sanguins. Les globules rouges présents éclatent et libèrent leurs hémoglobines. Le fer est libéré dans le sang et passe dans les urines.

Le muscle contient une sœur jumelle de l'hémoglobine, la myoglobine. Cette dernière, contient aussi beaucoup de fer qui fixe un peu d'oxygène. Cette petite réserve locale permet de débuter la contraction avant que les vaisseaux sanguins n'apportent le complément nécessaire. Quand vous ressentez des courbatures, vos membranes musculaires sont victimes de microdéchirures. La myoglobine et le fer quitte le muscle et gagne le sang. Le précieux métal est éliminé par voie urinaire.

Quand vous faites un effort, la majorité de flux sanguin s'oriente vers vos muscles. Il n'en reste que très peu pour le tube digestif et la paroi de la vessie. Ces organes souffrent du manque d'oxygénation et sont secoués à chaque foulée. De petites zones s'abîment et se mettent à saigner. Des globules rouges et du fer sont perdus dans les matières fécales et dans les urines.

Vous saisissez pourquoi les sportifs assidus manquent souvent de fer, surtout s'ils ne prennent pas soin de se concocter des « menus et recettes » adaptées. Les sportives sont encore plus concernées puisque à toutes ces pertes de fer s'ajoutent l'élimination massive de sang pendant les règles ! 

Voilà pourquoi, il est bon de réaliser occasionnellement une prise de sang pour évaluer le stock en fer de l'organisme. Ce prélèvement s'impose quand il s'agit de faire le point sur un état de fatigue. Il inutile de doser le fer circulant dans le sang car le corps parvient à le conserver dans les limites de la normale alors que les réserves sont au plus bas ! Il faut mesurer le taux de « ferritinémie » car cette structure constitue la forme de réserve du fer.

L'os se renforce ou fissure au contact du sport

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Chaque mouvement sportif constitue une sollicitation pour la structure osseuse. A chaque réception de foulée, le tibia du coureur de fond subit des impacts vibratoires. En déroulant le pas, le randonneur tord légèrement les petits os de son pied. Même le body-builders, en contractant puissamment ses muscles, tire sur son tissu osseux.

Chacun de ces microtraumatismes lèse un peu l’os du sportif. Heureusement, au cours de la période de repos, l’os tente de se reconstruire. S’il dispose du temps nécessaire, si on lui apporte les aliments indispensables, il se répare ! Il se reconstitue même plus fort qu’auparavant comme s’il voulait se préparer à de nouvelles agressions mécaniques. Ce phénomène est appelé par les entraîneurs le cycle de décompensation / surcompensation . Ce processus a été décrit au sein de nombreux organes et fonctions physiologiques : les muscles, le stock en énergie, les hormones, etc. Il est un moteur essentiel de progression.

Ainsi, il a été démontré que le marathonien bien entraîné avait des os plus solides qu’un sédentaire. En effet, sa structure osseuse plus dense, plus riche en fibres et en calcium. De plus, l’architecture microscopique de son os est parfaitement orientée dans l’axe des contraintes mécaniques.

En effet, la structure chimique de l’os est comparable a du béton armé. Le réseau de protéine représente les tiges en acier. Le calcium est comparable au béton qui englue ces axes métalliques. Au niveau de la hanche et du bassin la direction de la trame osseuse est tout à fait caractéristique. Sur une radiographie, on constate que les fibres partent du fémur, l’os de la cuisse, basculent vers l’intérieur, entrent de col du fémur pour résister au poids du corps posé sur les hanches. Les lignes de force en provenance de la jambe droite et de la jambe gauche se rejoignent au milieu du bassin et se soutiennent mutuellement à la manière de la nef d’une église.

L’activité physique associée à une alimentation suffisamment riche en protéines, en vitamine D et en calcium est un formidable moteur de la construction osseuse. Ce cocktail se montre particulièrement utile aux périodes charnière de la vie. Pendant la croissance, Il est nécessaire de manger 4 à 5 produits laitiers chaque jour pour édifier un os solide. Il faut également bouger : il est indispensable de pratiquer un sport imposant de la course et des sauts au moins 3 fois par semaines pendant 30 minutes. En l’absence d’impact, les os durcissent moins. Il a été démontré qu’un jeune nageur de compétition avait une densité osseuse plus faible qu’un sédentaire car il était privé de la gravitation pendant ces longues heures d’entraînement en piscine. De plus, la densification osseuse s’arrête à 25 ans. A cet âge vous avez constitué votre capital osseux pour la vie entière !

A l’âge adulte, le sport renforce très difficilement le tissu osseux et la quantité de calcium nécessaire à l’entretien de l’os est encore débattu. En cas de fracture, le repos de la zone brisée est nécessaire quelques semaines pour permettre d’ « engluer » la zone brisée. Au-delà, des sollicitations mécaniques progressivement croissantes se révèlent indispensables pour « mécaniser » le cal osseux. Là encore, elles permettent d’orienter la trame de l’os dans l’axe des contraintes afin de le préparer à sa mission. Une augmentation de l’apport en calcium en période de consolidation est proposée par certains médecins sans que son intérêt n'ait été vraiment démontré.

Après la ménopause, la trame osseuse se dégrade peu à peu jusqu’à rendre l’os fragile : c’est l’ostéoporose. Mesdemoiselles, souvenez-vous, votre résistance à la fracture du col du fémur dépend de votre alimentation et de votre pratique sportive avant 25 ans ! Si l’activité physique après la ménopause ne permet plus de densifier les os, elle réduit la perte de tissu osseux. Alors, il est conseillé de marcher voir de sautiller ou de trottiner. Il est bon aussi de faire de la gym douce pour entretenir la résistance des os à la traction. Afin de profiter au mieux de cette stimulation, il est à nouveau nécessaire de prendre 4 à 5 produits laitiers quotidiennement. Il faut également sortir tous les jours pour profiter du soleil et faire de la vitamine D indispensable à l’absorption et à la fixation du calcium. Les sports de coordination douce comme le Thaï Chi ou les « ateliers équilibre » ont prouvé leur efficacité pour diminuer le risque de chute et de fracture.

Si l’activité sportive est excessive, les microfissures provoquées par les impacts sur les os ne parviennent pas à consolider au cours du repos. Au contraire, ces lésions s’aggravent à l’entraînement suivant. Finalement l’os de fend de part en part, il se casse sans aucun traumatisme violent. C’est la fracture de fatigue. Chez une femme ménopausée, il a été mis en évidence que 6 heures de sport en charge par semaine pouvaient suffire pour briser insidieusement les os. Chez l’adulte plus jeune, ce type de blessure est favorisé par les carences alimentaires et les dérèglements hormonaux. Le manque de calcium, de vitamine D et de protéines altère la reconstruction de l’os victime de microfissures à l’exercice. Une insuffisance en hormones sexuelles diminue la stimulation des usines chimiques microscopiques chargées d’assurer la synthèse du tissu osseux. Ces altérations fonctionnelles se rencontrent en cas d’épuisement profond de l’organisme. Ce genre de surmenage est plus souvent diagnostiqué chez les femmes car il provoque des irrégularités du cycle menstruel puis une disparition des règles. La victime se retrouve en état de « ménopause précoce ». Chez l’homme cette souffrance hormonale est plus insidieuse mais elle existe et ses conséquences sur la densité osseuse sont comparables. Le cocktail surmenage sportif, carences alimentaires et disparition des règles se retrouve classiquement chez la jeune femme anorexique. Face à une fracture de fatigue, le médecin du sport se doit de rester vigilant. Il ne doit pas se contenter de soigner un « os ». Il a pour obligation de prendre en charge un individu dans sa globalité, il a pour mission de rechercher un surentraînement ou des troubles du comportement.



Technique du ligament croisé

Par le docteur Nicolas Lefevre

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